Miss.Slim.Shady

THROUGH THE LOOKING GLASS.
PRENOM(S), NOM, SURNOM(S) : Je m'appelle Nikki Madeline-Jane Rose, mais on a tendance à me surnommer Nikki, Mad', Line ou Jay, ça dépend des gens. ÂGE : J'ai vingt-neuf ans et demi... Bon d'accord, j'ai trente ans, vous êtes content? ORIGINES : Comme le dirait mon petit frère, nous sommes d'origine juive new-yorkaise... En gros je suis née à New-York, mais mes ancêtres arrivaient d'Ukraine et d'Allemagne. EMPLOI : Après des tas de petits boulots, je me suis trouvée un emploi comme secrétaire au Baltimore Sun. GROUPE : Je fais partie du groupe Assistance.


WHERE NOBODY KNOWS.

→ Je suis la seule fille de la famille Rose, j'ai grandi entourée de mecs. J'ai deux grand-frères qui sont jumeaux et puis juste après moi il y a mon petit frère Swann, celui avec qui je m'entends le mieux.
→ J'ai voulus être archéologue à la Indianna Jones, exploratrice des mondes perdus comme Lara Croft, chasseuse de primes comme Jango Fett, danseuse étoile, vétérinaire, PDG d'une multinationale, star hollywoodienne... y en a eu des rêves, mais celui qui était le premier dans ma liste c'était de devenir écrivain. Je lisais tous les jours lorsque j'étais enfant et il était dur de me tirer hors de mes livres. J'ai même écrit de petites histoires que je n'ai malheureusement jamais terminé.
→ Mes écrivains préférés sont Jack Kerouac, Albert Camus, Marcel Proust, Raymond Chandler et Christopher Marlowe.
→ J'ai fait une fac de lettres, mais je ne l'ai jamais terminée, je n'arrivais pas à m'adapter au système qu'est la fac. J'ai donc enchaîné petits boulots sur petits boulots.
→ Je suis une débrouillarde, j'ai même pas hésité à jouer de mon physique pour obtenir ce que je veux par moment. La vie est dure et c'est pas parce qu'on a un physique avantageux qu'on ne peux pas l'utiliser pour se trouver un job.

ONE MORE CUP OF COFFEE.
PSEUDO OU PRENOM : Lily
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Partenariat avec African Heart
POSTE VACANT, SCENARIO, INVENTE ? Scenario
AVATAR : Olivia Wilde
AUTRES MESSAGES :

J'ai débarqué à Baltimore, ça y est j'y suis. Je vais squatter un moment chez Swann, mon petit frère. Je me suis toujours bien entendu avec lui, vous ne vous imaginez pas à quel point. On s'engueulait parfois, mais bon c'était rien, parce qu'après on faisait tout de suite la paix. Je crois que c'est parce qu'on a grandi ensemble, on dormait dans la même chambre jusqu'à ce que les jumeaux s'en aillent. C'est même moi qui est été la première informée de son homosexualité et je ne lui ai pas jeté la première pierre. Je n'ai rien contre les homosexuels, tant que Swann est heureux, c'est tout ce qui m'importe. Bref, je vais aller squatter son canapé et sa salle de bain pour une durée indéterminée à vrai dire. J'ai trouvé un boulot au Baltimore Sun, le journal de la ville, je suis secrétaire et je le dois surtout à mon charme et à mes atouts de femmes. Je n'ose même pas imaginé la tête de Swann lorsqu'il va me voir. Mais en même temps, j'avais besoin de changer d'air, vous voyez ce que je veux dire ? Mais là, je pensais vraiment que c'était le bon, que je pouvais me reposer sur mes lauriers... Je pensais que si ça continuait comme ça, je pourrais peut-être me mettre à écrire un peu et réaliser mon rêve, l'homme avec qui je vivais pouvais largement nous faire vivre sans que je travaille. Il avait déjà été marié, il avait un fils et puis le truc parfait, il était médecin. Il vivait dans un grand immeuble de New-York. Je l'aimais, j'en étais folle. On s'était rencontré au starbuck du coin, j'allais chercher mon petit café du matin et lui, il en sortait. Il s'est fait bousculer et son café brulant s'est répandu sur ma belle chemise en soie. Il s'est de suite excusé et m'a demandé si j'allais bien. J'avais mal, je m'étais reçu du café brulant et la chemise me collait. Il m'a alors conduit à l'hôpital avec son sourire charmeur et il m'a ausculté. On a discuté longtemps avant qu'on se rende compte qu'il était déjà dix heures et qu'il avait des rendez-vous et que moi j'allais me faire virer. Je suis arrivée à la boutique avec une heure de retard, la patronne ne m'a pas viré, elle s'est surtout inquiété de savoir si j'avais été brûlée au troisième degrée. J'ai débauché le soir vers cinq heures, il était devant la boutique avec une rose verte. J'ai de suite craquée. C'était tellement originale, j'aimais beaucoup. Il m'a invité à prendre un café, mais cette fois sans que ça tâche mon chemisier que je venais d'acheter à la boutique. On a encore parlé. J'avais les yeux remplis d'étoiles, il semblait si géniale et je suis tellement naïve. Je me suis laissée embarquer les yeux fermée dans cette relation. Je croyais que c'était mon prince charmant. Après deux mois de relation, je me suis installée chez lui, j'avais fait connaissance avec son fils, Seager, il était sympathique et pas plus vieux que moi - ah oui, Joseph avait cinquante ans, il aurait pu être mon père, mais je m'en fichais, je l'aimais - donc on s'entendait plutôt bien avec Seager, c'était un chouette gars, il me regardait parfois avec tristesse, mais je ne comprenais pas. Seager savait lui, il savait tout ce qu'il se passait derrière mon dos, il savait comment était son père et pourquoi sa mère avait divorcé, il le savait, il l'avait vécu... J'ai compris après un mois de vie commune, Joseph avait tendance à boire et à être violent... Je me suis pris des coups, il s'excusait toujours, il disait qu'il était désolé, il me prenait dans ses bras et me chouchoutait... Je revenais toujours. Un soir on est allé au restaurant avec son fils et des amis de son travail. Il a été horrible, après avoir bu, il s'est mis à me critiquer, à dire que je n'étais qu'une gourde sans cervelles, que je n'arriverais jamais à rien, il a dit qu'il m'avait trompé plusieurs fois devant tout le monde. Il m'a humilié. Je suis partie, je suis rentrée à l'appartement, il m'a suivi bien évidemment. J'étais en train de faire mes valises lorsqu'il est entré en trombe dans la chambre, il a jeté la valise à travers la chambre et a commencé à me frapper, il m'a violentée et si Seager n'avait pas intervenue, je crois que je n'aurais pas été de ce monde aujourd'hui. Seager a frappé son père, celui-ci s'est écroulée et il s'est endormit. Seager m'a pris dans ses bras et m'a déposé dans sa voiture. Il a récupéré toutes mes affaires et les as mises dans le coffre. On est allé chez lui. J'ai dormi dans ses bras, j'avais besoin de réconfort. Le lendemain matin, il m'a payé un billet d'avion pour Baltimore, m'a conduit jusqu'à l'aéroport et a entendu le vol avec moi. Il s'est excusé pour son père et m'a demandé qu'on reste en contact, j'ai accepté. Comment pouvais-je lui refuser ceci ? Je me suis installée à l'hôtel et j'ai cherché un travail. On en revient au début de l'histoire. J'ai trouvé au Baltimore Sun en tant que secrétaire et j'ai quitté l'hôtel pour vivre chez mon frère. Je n'ose pas lui parler de ce qui s'est passé... C'est encore trop douloureux.