wholove@TUMBLR

THROUGH THE LOOKING GLASS.
PRENOM(S), NOM, SURNOM(S) : Alexander, Joseph Grindley. Mais appelez-le Alex.
ÂGE : Âgé de vingt-six ans, enfin presque qu'il va fêter le huit mars prochain.
ORIGINES : Né à New-York, il a ensuite grandit à Baltimore.
EMPLOI : Pour le moment, il n'est qu'assistant, il rêve d'avoir sa propre rubrique comique.
GROUPE : Assistant.

ONE MORE CUP OF COFFEE.
PSEUDO OU PRENOM : Calvaries, Rusty, Siloé.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Par partenariat sur mon forum.
POSTE VACANT, SCENARIO, INVENTE ? Inventé.
AVATAR : ANDREW GARFIELD
AUTRES MESSAGES : YOU'VE SHOT ME DOWN.

disappointionist@TUMBLR

GOOD TIMES, BAD TIMES.
New-York, Harlem, 1994.
Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de Blake. Blake, c’est mon meilleur ami, il est super drôle comme gars, il me fait rire, et c’est lui qui m’a appris à rider dans le skatepark de la vingt-septième rue. Il a douze ans de con. La chance, je suis pressé d’avoir douze ans. J’en ai marre de mes parents, vivement les jours où je pourrais partir faire du skate tout seuls sans demander quoique ce soit. D’ailleurs, j’espère qu’il vont me remboursé le cadeau que je lui ai fait à Blake. Je lui ai acheté une planche, la dernière Rozyenboard 42,1 cm. Quarante-cinq dollar cinquante c’est pas rien tout de même.
Blake m’a promis une chose pour son anniversaire. Il compte fêter ça au skatepark, et il m’a promis d’inviter Sophie. Ah oui, je vous ai pas dit ! Sophie, c’est la nouvelle, elle arrive tout droit de Deltroit et elle est vraiment dingue !! Je crois que je suis amoureux, mais Blake il se foutrait de moi si je lui dit ça, et j’veux pas. Si elle vient, promis je l’embrasse.
Mais bon, je dis tout ça mais je suis même pas sûr qu’elle me laisse y aller ma mère. Elle aime pas trop que je traînes là-bas, allez savoir pourquoi.
« Alors, ‘man, je peux y aller ou pas ?» «Comment ça, de quoi tu parles ?» «Quoi ?! Maman c’est l’anniversaire de Blake et je dois rejoindre tout le monde au skatepark dans une heure !» «Non, je ne veux pas, tu ne m’as pas prévenue !» «Hein ?! Mais si j’ai posé l’invit’ sur la table ce matin !! Tu ne l’as même pas regardée ?! Tu te fiches de moi ? Pfff…»
Au final, je suis parti de chez moi, elle m’a vraiment énervée celle-là. Si papa avait été là, il m’aurait autorisé lui, mais je m’en fiche, je suis déjà en chemin et j’arrive bientôt. Tant pis pour elle, je vais pas lui obéir non plus !!

New-York, Harlem, 2004.
Le jour où ma mère mourut, j'ai cru que le monde entier s'écroulait. Assis auprès de son lit, elle ne disait rien. Elle ne voulait pas m'adresser la parole, nous nous étions disputé depuis maintenant très longtemps et nous ne nous étions jamais reparlé. Papa était encore en Irak, colonel de sa session il semblait ravi de la vie qu'il menait là-bas et ne donnait jamais de nouvelle. Il devait surement s'être construit un nouveau foyer et ne devait même pas être au courant de l'état de maman. Le visage pâle et les cheveux sale, elle détournait le regard. Sa jour reposait sur l'oreiller du côté opposé au mien, elle observait la fenêtre et m'ignorait complètement. «Maman…» Dit-je. Mais elle ne répondit pas. Lorsque je sortis de la pièce, le médecin vînt me parler. Son cas de Leucémie était fortement aggravé et ils ne pourraient sûrement rien faire. Il ne lui restait que quelques jours. Je retint tout d'un coup une montée de larme puis revînt m'asseoir auprès d'elle. Je l'observait, dans ses draps blanc elle semblait purgée, saine, comme si sa maladie avait tout effacer. Le bip de son moniteur résonnait continuellement, je n'arrivait pas à réaliser qu'elle mourait peut à peu. Soudain, je craqua, une larme ruissela le long de mon visage, puis une autre arriva. Je fut perdu. Le visage de ma mère se détourna enfin, enfin elle me regardait. Je lui pris la main et la serra fort, je ne voulais pas la perdre. «Je t'aime Alex, ne l'oublis jamais…» Sa voix était faible, mais ces derniers mots me firent pleurer de plus belle. Je ne sentais même plus mon coeur battre, j'avais l'impression de tout perdre, je m'en voulais. J'aurais voulu ne jamais lui dire ces choses, pourvoir tout recommencer, profiter de la voir encore heureuse auprès de Papa, pourvoir la serrer des milliers de fois dans mes bras, encore et encore, sans jamais m'arrêter. Je fermais les yeux, retenant mes larmes et visionnant tous ces moment intenses. Je rythmais mes pensées au bruit du moniteur, puis soudain, son bip fut continu. Et là je compris que jamais je n'aurais eut l'occasion de m'excuser, de me faire pardonner. «Je suis désolé maman… Je t'aime, ne me laisses pas.»

Baltimore, 2006.
Le taxi me déposa devant mon nouvel appartement. Je venais juste de revendre la maison de New-York. Plus rien de m'y attachait. Je craignais de devoir sans cesse affronter ce sentiment de honte une fois à l'intérieur. Toute ces horreurs que j'aurais pu lui dire. Toutes le fois où je me serait disputé avec elle, je ne souhaitais pas revoir défiler ces instants maudit dans mon esprit. Je suis sûr qu'ils m'auraient hantés. J'étais à présent partis sur de nouvelles bases, j'avais été embauché dans une nouvelle boite, j'avais dit au revoir à toutes mes connaissances et je partais sur un nouvel état d'esprit.
Dans la soirée je décida de sortir en boite, j'ai tout de suite tout apprécier, honnêtement je me suis plutôt bien amusé pour un premier soir. J'ai rencontré plusieurs filles que je ne rappellerais sûrement jamais et je me suis pris une gifle par l'une d'entre elle, c'était assez marrant. Bon, je ne ferais pas ça tout les soirs, c'est promis, maintenant je fais les choses bien. Je suis clean comme mec, vous devriez le savoir.

Aujourd'hui, c'est ma première journée de boulot. J'ai rencontré pas mal de gens, l'un d'entre eux m'a fait visiter les lieux et m'a présenter à tous le monde, plutôt mignonnes les filles d'ailleurs. «Bienvenu à Baltimore Sun mon petit, ah oui, j'oubliais, les photocopieuses sont là bas, je crois que toi et moi ont sait que tu t'y rendra souvent n'est-ce pas?!» Pas très drôle sa petite bague, mais j'ai préféré faire le mec cool pour un premier jour de boulot. Cependant, j'avais toujours eu un fantasme qui restait pour le moment non effectué avec les photocopieuses. Allez savoir laquelle d'entre elles y passera…

WHERE NOBODY KNOWS.

→ C'est un grand sensible, il pleurs assez souvent, il n'aime pas parler "sérieusement" par téléphone, il préfère envoyer des textos, comme ça les gens éviterons de savoir qu'il pleure.
→ C'est d'ailleurs un accroc des textos.
→ Il déteste les fonds marins, les poissons, tout ces trucs là, c'est pas son truc.
→ Mais la gronzette, ça oui, mais cependant il préfère largement sortir en boite et le lendemain il est souvent trop tard pour aller s'allonger dans le sable, quoiqu'il n'est jamais trop tard pour rien.
→ Il ne supporte les les mauvaises surprises.
→ Il a aussi longtemps enchaîné les relations sans lendemain.
→ Sa mère est morte, son père en Irak, dont il est sans nouvelle.
→ Il est fumeur et ce depuis très longtemps. Jeunesse mouvementée, que voulez vous?!
→ Il est totalement déboussolé du retour de Kelly et ne sais pas trop comment prendre cela.
→ Il craint qu'elle se fiche de lui une fois de plus, mais ne voudrait pas la perdre une fois de plus, elle lui a tellement manqué.
→ Il pense devenir végétalien, mais il a annoncé ça hier soir après quatre verres de whisky, il ne savait plus trop où il en était.

BIENVENUE.
mince, andrew, j'avais pensé à lui pour mon scénario. j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire alors.
et sur ce, je retourne à ma fiche.
(et si ça se trouve j'ai même pas le droit de poster. quelle boulette. )

Bienvenuuuuuuue